ILS ONT DIT:
«En 2019 nous comptons acquérir 1200 nouveaux bus en plus bien sur de la consolidation du transport ferroviaire à travers l’acquisition de 110 locomotives. Nous avons prévu d’obtenir 1200 bus d’ici 2019, dont 300 sont déjà achetés. Cependant, nous avons été freinés par un problème qu’on a eu avec l’un de nos fournisseurs et nous oeuvrons à présent à le résoudre. Il a été, par ailleurs, décidé d’acquérir 110 locomotives neuves afin de renforcer le réseau ferroviaire notamment celui des grandes lignes qui souffre de certaines difficultés.»
Radhouane Ayara (Ministre du Transport)
«Les pharmaciens ont légalement le droit de demander à suspendre leur accord avec la Cnam, avant six mois de la fin de l’accord, toutefois ce délai, nous permettra de revoir, de notre part, ce qu’on pourrait faire pour désamorcer la crise. A cause du nonpaiement des autres caisses, la Cnam manque de moyens pour rembourser sa dette, qui s’élève à plusieurs millions de dinars.
Cela nous a conduits à nous embrouiller avec nos partenaires. Les pharmaciens ont donc raison de nous demander de respecter les délais de remboursement mais je tiens à préciser que ce différend n’aura aucune incidence immédiate sur le citoyen. Les réformes des caisses sociales doivent être rapidement entamées et le dossier de la Cnam relève du ministre des Affaires sociales et figure parmi les grandes réformes. Le retard dans la réforme des caisses sociales nous fait perdre mensuellement des centaines de millions de dinars, car quand les caisses ne paient pas les pensions cela a une incidence directe sur la Cnam.»
Salah Hmidet (Porte-parole de la Cnam)
«Je suis très ouvert au dialogue avec tous les partis centristes pour la formation d’un bloc centriste en vue des prochaines élections législatives et présidentielle et nous appelons à un dialogue avec Youssef Chahed, Hafedh Caïd Essebsi, Yassine Brahim, Mehdi Jomâa, Tahar Ben Hassine… pour la formation d’une coalition moderniste. Toutefois, l’ancien je tiens à démentir les rumeurs un éventuel retour à Nidaa Tounes. Je ne reviendrai pas à Nidaa Tounes, c’est du passé, mais je suis prêt à m’allier avec ce parti pour des prochaines échéances électorales. Concernant l’ancien ministre de l’intérieur, je peux affirmer qu’il dérangeait certaines formations politiques, et que la responsabilité de la catastrophe de Kerkennah était partagée, sans totefois cacher mon ètonnement à l’égard de l’immunité politique dont bénéficie le gouverneur de Sfax.»
Mohsen Marzouk (Secrétaire général du parti Machrouû Tounes)
«J’ai une nouvelle vision qui permettrait de sauver le parti et de réunir ses fondateurs afin de retrouver la version initiale de Nidaa Tounes, à condition de ne plus les taxer de «profiteurs». En plus les fondateurs du parti et les bureaux régionaux sont en train de négocier ladite vision mais il est impossible d’en connaître les résultats. Mon but ultime est d’aider le parti en présentant des solutions et des conseils sachant que l’opération sauvetage de Nidaa Tounes n’est pas étroitement liée à ma personne et mon retour au sein du parti est prématuré. Pour le moment je refuse de lever le voile sur la conversation téléphonique qui a eu lieu avec le Président de la République tout de suite après l’allocution de Youssef Chahed.»
Taieb Baccouche (Ancien secrétaire général de Nidaa Tounes)
Ces déclarations ont été accordées à différents médias