Premier match entre les deux stars françaises
L’oeil du designer GILLES VIDAL, directeur du style PEUGEOT
Depuis la 205, la gamme «2» se modernise régulièrement. Là, nous avons opté pour une vraie rupture avec des lignes modernes et futuristes. Nous avons cherché à concevoir un objet très sexy dont on peut tomber amoureux rapidement. Aujourd’hui, toutes les voitures sont plus ou moins comparables. Ce qui fait la différence, c’est l’impact visuel. Nous avons travaillé la simpicité des lignes, sculpté les pare-chocs de manière à trouver du peps, de la vibration, de la qualité. L’expérience à bord est également très importante. Nous avons souhaité booster fortement le niveau de qualité perçue. L’i-Cockpit évolue en profondeur avec d’importantes améliorations en termes d’ergonomie et de sécurité. Concernant la version électrique, nous avons limité les éléments de différenciation aux badges spécifiques, aux écrans et à la couleur des matériaux. Les batteries n’ont aucun impact sur la morphologie de la voiture.»
L’oeil du designer LAURENS VAN DEN ACKER, directeur du style RENAULT
La Clio 4, c’était pour que les gens tombent amoureux de Renault. Ça a marché. Sept ans après, sa courbe des ventes continue à progresser. La Clio 5 renouvelle l’histoire d’amour. Elle est plus désirable. Elle a davantage de substance, de profondeur. Au moment de renouveler cette auto devenue l’icône de Renault, nous étions face à un dilemme : comment respecter ce qui plaisait et améliorer le reste. Le fait que nous n’ayons pas fait de révolution, c’est ça, la révolution ! Nous avons travaillé sur l’homogénéité et la qualité. Les progrès sont particulièrement visibles à l’intérieur, traité de manière beaucoup plus premium. Nous avons apporté un soin particulier au grand écran central, pièce maîtresse de la planche de bord. Il est courbé et antireflets. La Clio 5 a vraiment tout d’une grande. Elle n’est pas plus volumineuse que l’ancienne, mais il n’y a jamais eu autant de place à l’intérieur ! »