DE FINALE RETOUR) Rennes, voilà c’est fini
Battu par Arsenal, le Stade Rennais est éliminé de la Ligue Europa, sonnant ainsi le glas des ambitions européennes des clubs français cette saison
ARSENAL - RENNES : -
A Londres (Emirates Stadium) : Arsenal bat Rennes 3 à 0 (2-0) Arbitre : A. Treimanis (LAT) Buts : Aubameyang (5, 72), Maitland-Niles (15) Avertissements : Arsenal : Lacazette (32), Aubameyang (75), Mkhitaryan (77), Kolasinac (90+3) ; Rennes : Mexer (18), Grenier (55), Bourigeaud (81), Traore (90+5) Arsenal : Cech - Mustafi, Koscielny (cap), Monreal, Kolasinac - Maitland-Niles, Ramsey (Torreira 88), Xhaka, Özil (Mkhitaryan 70), Aubameyang Lacazette (Iwobi 70). Entraîneur : Unai Emery (ESP) Rennes : Koubek - Traore, Da Silva, Mexer, Bensebaini - Sarr, Andre (Lea Siliki 78), Grenier (Hunou 70), Bourigeaud - Ben Arfa, Niang. Entraîneur: Julien Stéphan.
Place à la Ligue 1... Le seul représentant du championnat encore en lice dans les compétitions continentales a pris le même chemin que ses compatriotes Paris et Lyon, éliminés eux de la Ligue des champions au même stade de la compétition. A vrai dire, ça n'a pas fait un pli : les "Gunners" avaient rattrapé leur retard avant la fin du premier quart d'heure, passant même déjà devant grâce à leur but au Roazhon Park. Dommage pour les près de 6000 supporters rennais qui avaient fait le déplacement et ont donné de la voix pendant l'essentiel de la rencontre. Les Bretons ont soutenu leur équipe dans un match haché, marqué par de nombreuses fautes, petits actes d'antijeu et autres tacles en retard. Un domaine dans lequel Lacazette s'est illustré. Il est même passé tout près d'un deuxième carton jaune en seconde période après une nouvelle intervention inconsidérée. Les "Gunners" ont pris les devants dès la cinquième minute. Servi le long de la ligne de sortie de but, Ramsey a centré en force et Aubameyang était là pour détourner au premier poteau. Le bloc rennais a cédé une deuxième fois avant la fin du premier quart d'heure. Aubameyang a centré alors que le ballon flirtait avec la ligne, pour trouver la tête de Maitland-Niles (15). S'ils n'ont pas désarmé, les hommes de Julien Stéphan n'ont pu aller chercher ce but qui aurait tout changé. Ils ont failli le décrocher pourtant dès le retour des vestiaires, sur une frappe vicieuse de Niang à