Dossier : Nancy CATTAN et Axelle TRUQUET Photos : François VIGNOLA
M. Albert
Et c’est dommage. Le Dr Benattar raconte ainsi : « un samedi soir vers h, j’ai reçu appels à la suite. À chaque fois, il s’agissait de patients F. Pennes R. Foissac G. Burtin M. Salvadori
gastro-entérologie permettrait d’éviter à % des patients concernés d’aller aux urgences. » Le Dr Ferrier donne, lui, l’exemple P. Lemarchand
ville-hôpital qui aurait pour mission de trouver des solutions pour les patients angoissés afin de leur éviter de se rendre aux urgences. » K. Tortet
Les infirmiers en soutien Deux membres du Conseil puis-je faire ? Il y a possibilités départemental de l’Ordre : soit je connais bien le des infirmiers ont partagé patient et je me débrouille ; leurs expériences. Gérald soit j’appelle le . » Elle Durbas, infirmier n’hésite pas à rappeler que urgentiste en pédiatrie, « les infirmiers sont les seuls s’inquiète de « la surcharge professionnels de santé à permanente des urgences avoir une obligation de pédiatriques, qui augmente soins heures sur ! Ils chaque année ». sont l’un des piliers sur lequel Cécilia Bréneur, aujourd’hui le système de santé infirmière libérale a exercé peut s’appuyer.» Pour elle, pendant ans aux urgences une des pistes de réflexion du CHPG. «Ilyaunproblème réside dans « la protocolisation de prise en charge en : le fait d’établir des amont parce qu’entre h procédures bien claires et et h, et le week-end, il n’y définies, cela fonctionne et a pas de médecins de ville. pourrait résoudre bien des Comment, moi infirmière problèmes. » C. Bréneur G. Durbas