Des mots qui font mouche
Alexandre Zapolsky : « Je constate que tous les touristes à fort pouvoir d’achat qui arrivent à l’aéroport vont soit dans le golfe de Saint-Tropez, soit dans l’ouest varois. Nous devons aussi en profiter, en aidant les infrastructures et les hôteliers existants à muter et développer le haut de gamme. Comme M. Lelièvre l’a fait à La Seyne en ouvrant un hôtel * (en instance d’ouverture, Ndlr) .» Jean-Louis Masson : « Vous ne proposez qu’une chose: soutenir le président de la République. »
Alexandre Zapolsky : « Vous ne proposez rien car vous avez été trop longtemps suppléant. Vous avez laissé à d’autres le fait de faire le job et vous ne vous êtes jamais vraiment intéressé à ce travail de député. » Alexandre Zapolsky : « Je ne vous veux pas de mal parce qu’à partir de dimanche, il faudra qu’on travaille ensemble. » Jean-Louis Masson : « Ne préjugez pas des résultats des élections. Il faut éviter d’être favori. Laissez passer le suffrage universel, n’ayez pas d’anticipation. » Jean-Louis Masson : « Vous avez suivi des cours de théâtre avec M. Macron, arrêtez ! » Alexandre Zapolsky : « Je suis allé rencontrer les habitants de Romain-Rolland à La Garde. Ils ont un gros problème de sécurité. C’est là que je ne comprends pas parce que, là, c’est directement sous votre responsabilité. Je vous aiderai Monsieur le maire, parce qu’ensemble on se penchera sur les sujets qui intéressent la population. » Jean-Louis Masson : « Vous avez voté où, au fait, au premier tour ? » Alexandre Zapolsky : « J’ai voté à Paris. » Jean-Louis Masson : « Merci. »
Jean-Louis Masson : « M. Macron... » Alexandre Zapolsky : « Vous m’appelez M. Macron ! » Jean-Louis Masson : « Vous n’êtes pas M. Macron ? » Alexandre Zapolsky : « Je m’appelle M. Zapolsky. Et je ne me suis jamais trompé sur votre nom .» Jean-Louis Masson : « Dans la rue, les gens me disent qu’ils se fichent royalement de qui est le candidat, ils votent M. Macron. »