Mains entrées dans la légende 

La Coupe du monde  est une énorme tâche dans l’histoire de l’équipe de France. Le barrage retour contre l’Irlande, disputé le  novembre , en est une autre dans la carrière de Thierry Henry. Avant l’épisode des mutins de Knysna, et alors qu’ils ont remporté le match aller à Dublin (-, but d’Anelka), les Bleus sont menés à Saint-Denis. Keane remet les Irlandais à niveau (-, ’). Les Boys in Green bousculent sérieusement l’équipe de Domenech. Pour se sortir de ce guêpier, les Tricolores égalisent grâce à William Gallas pendant la prolongation (-, ’). Le but est validé. Même si, passeur décisif sur l’action, Henry contrôle le ballon deux fois de la main pour l’empêcher de sortir en six mètres. Eliminés, les Irlandais demandent leur repêchage ou que le match soit rejoué. La FIFA rejette les deux propositions et file  millions de dollars à la Fédération irlandaise pour contrer ses velléités de justice. En France, le Barcelonais est traité et se défendra en dégainant l’excuse du cible, l’arbitre Martin Hansson. Il n’a rien vu.

« de tricheur » « réflexe ».

« En rentrant au vestiaire, je pensais avoir fait l’un des meilleurs matchs de ma carrière »,

Autre

s’est souvenu le Suédois fin . Il est rapidement averti de son erreur. Il en veut toujours à Henry de ne pas s’être dénoncé.

Sept mois après sa bourde, au Mondial, Hansson ne jouera qu’un rôle anonyme de quatrième arbitre.

parlerais pas. »

« Ça m’a anéanti ». «Sijelecroisais,jenelui

Maradona

Henry

Vata