Var-Matin (Fréjus / Saint-Raphaël)
Sur le toit de l’Europe en F Classic
Déjà présent sur les tablettes du Trophée F Classic français en tant que vainqueur de l’édition , Frédéric Lajoux a remis le couvert deux ans plus tard en s’adjugeant cette fois la déclinaison continentale. « À l’instar de nombreux autres pilotes, j’ai bifurqué vers le Trophée Interséries qui proposait un calendrier plus étoffé en , avec cinq manches contre trois précédemment. L’occasion de découvrir d’autres circuits renommés et d’affronter les meilleurs pilotes des pays voisins. » Après avoir engrangé des gros points d’emblée au Castellet (e, puis e) et à Brands Hatch (e, e), le chevalier servant de la Chevron B-Toyota millésime affûtée par l’écurie italienne Historic Project Club s’installera en tête de la hiérarchie au virage presque parfait du Nürburgring (er,
e). Bien que freiné par un violent crash heureusement sans bobo - survenu lors des essais libres de l’étape du Mans, celui-ci gardera l’avantage jusqu’au terme de la finale lusitanienne, à Portimao, grâce à un nouveau tir groupé sur le podium (e, e). De quoi devancer le champion sortant, Valerio Leone (March -Toyota), et le Cagnois Eric Martin (Martini MK-Alfa Romeo). « L’objectif est atteint, puisque je visais le titre. Hélas, il m’a fallu tirer un trait sur le Grand Prix de Monaco historique qui n’accueillait pas les F. Mais je me suis vite consolé en remportant dès le week-end suivant les deux courses du GP de Pau hors Trophée... »