DROIT DE RÉPONSE DE FRANÇOIS DURVYE
M. François DURVYE regrette que l’article intitulé «Les Horaces, un cénacle de l’ombre autour de Madame Marine Le Pen», ait cru pouvoir présenter – sans précaution aucune – le récit imaginaire selon lequel il appartiendrait au groupe dit des «Horaces», conseillant «dans l’ombre» Mme Marine LE PEN.
M. François DURVYE conteste vivement toute appartenance à ce groupe dit des «Horaces», dont il ne fait aucunement partie des membres et ne contribue en aucun cas aux activités, réelles ou alléguées aux termes de l’article en cause.
Il rappelle n’avoir jamais organisé de dîner de levée de fonds en compagnie de Mme Marine LE PEN, contrairement à ce que le journal Libération s’efforce de répéter. Cette allégation avait déjà fait l’objet d’un démenti, publié à la requête de M. François DURVYE à la suite d’un article publié les 12 et 13 avril 2023 dans les éditions en ligne et papier du journal, et il est particulièrement regrettable de voir les mêmes insinuations continuer d’être publiées.
M. François DURVYE, enfin, déplore le récit fait d’une scène, aussi imaginaire que grotesque, où il lui est prêté de s’être «fardé en Macron», «plus bourgeois et le sourire pincé» afin de donner «la réplique» à Mme Marine LE PEN à l’occasion d’un diner.
Outre qu’une telle scène n’a jamais eu lieu, sa publication est d’autant plus contestée par M. François DURVYE qu’elle apparaît n’avoir d’autre objet que d’alimenter les allégations de sa participation au groupe dit des «Horaces» de conseillers de l’ombre de Mme Marine LE PEN, sans davantage de fondement et dans des conditions que M. François DURVYE considère comme portant atteinte à son image, à son honneur et à sa considération au sens de l’article 29 de la loi du 29 juillet 1881.
Précision de «Libération» Nous maintenons toutes nos informations.