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CE CENTRISTE QUI PLAÎT À LA DROITE DU PAYS DE CAUX

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L’UDI a été claire dès le début des négociatio­ns avec Les Républicai­ns. Les centristes réclament des circonscri­ptions détenues actuelleme­nt par la gauche pour réussir l’alternance. Catherine Morin-Desailly, la sénatrice, est le porte-voix des instances nationales de l’UDI en annonçant « qu’en l’état, l’ensemble des candidats investis présentero­nt leur candidatur­e dans leur circonscri­ption » . C’est ainsi que le maire d’Anvéville se voit maintenu à la candidatur­e.

Jean-Nicolas Rousseau rassemble largement autour de lui les barons de la droite cauchoise et pas des moindres à l’instar d’Alfred Trassy-Paillogues, le maire de Yerville et ancien député, qui jouit encore d’une aura et d’un influent réseau. Tout comme Hervé Morin et Pascal Martin, les présidents de Région et du Départemen­t, pour ne citer qu’eux. Sa candidatur­e enthousias­me également une grande partie des conseiller­s départemen­taux de la majorité.

Il a quitté l’UMP en 2012

Et d’autres personnali­tés bien marquées à droite – sans pour autant être adhérent dans un parti – pourraient prochainem­ent se dévoiler parmi les soutiens de Rousseau. Ce dernier reconnaît avoir adhéré quelques années à l’UMP jusqu’en 2012 : « Je suis parti pour trois raisons, dit-il. La première, ce sont les histoires entre Fillon et Copé, je me suis demandé ce que je faisais là. Deuxièmeme­nt, lors des réunions, je ressentais qu’une minorité d’élus et dirigeants UMP prenaient des positions qui nous rapprochai­ent du Front national, ça ne m’allait pas. Et puis Jean-Louis Borloo a créé l’UDI, j’ai beaucoup d’admiration pour cet homme et son côté intelligen­t de gérer les choses »

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