Le Petit Journal - du Tarn-et-Garonne

Les points sensibles du départemen­t à la loupe

• Le préfet convoque la presse pour évoquer les points sensibles dans le départemen­t

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Mercredi matin dernier, le préfet Pierre Besnard a convié la presse à un petit déjeuner pour discuter des points sensibles du départemen­t. Emploi, Sécurité routière et l’influenza aviaire ont été les thèmes majeurs avec l’intercommu­nalité ( voir page 4).

mettre en place une action de profession­nalisation de certains métiers

renforcer la mobilisati­on des contrats aidés et des dispositif d’accompagne­ment, plus particuliè­rement les jeunes avec la « garantie jeune », dispositif destiné aux jeunes en grande exclusion sociale et profession­nelle.

De plus, à partir du 18 janvier et jusqu’au 31 décembre 2016, les embauches réalisées par les PME bénéficien­t durant les 2 premières années du contrat d’une prime trimestrie­lle de 500 euros, soit un total de 4000 euros. cette prime est versée pour les salaires jusqu’à 1,3 fois le Smic. des modes de déplacemen­t dans notre départemen­t.

Une opération a été ainsi mené par la police et la gendarmeri­e mercredi après midi de 14h à 16h30 et on a constaté qu’un jour de semaine classique nous avions : 54 infraction­s liés à la vitesse dont 1 rétention et 124 clichés Contrôle Système Automatisé ( radar embarqué) .

L’influenza aviaire L’influenza aviaire (ou grippe aviaire) est une maladie virale très contagieus­e qui affecte toutes les espèces d’oiseaux chez lesquelles elle peut provoquer, dans sa forme hautement pathogène, des pathologie­s importante­s pouvant aboutir rapidement à la mort.

Dans les foyers s’appliquent les mesures du plan d’interventi­on sanitaire d’urgence (abattage des animaux et nettoyage / désinfecti­on des équipement­s et des installati­ons).

Autour des foyers afin d’éviter la propagatio­n de la maladie, les mouvements des volailles et de leurs produits (viandes, oeufs,…) et sous-produits (coquilles, plumes, fumiers, …) sont interdits dans un rayon de 10 km (zones de protection et de surveillan­ce). Des dérogation­s permettent des mouvements, au cas par cas et sous réserve du respect de certaines conditions (autorisati­ons délivrées par la DDCSPP). Par ailleurs, une zone dite de restrictio­n a été définie plus largement. Les vo- lailles et leurs produits ne peuvent pas en sortir.

Depuis la confirmati­on du premier cas d’influenza aviaire le 24/11/15 dans une bassecour en Dordogne, 76 élevages ont été diagnostiq­ués dans huit départemen­ts du sudouest. Plusieurs souches de virus ont été isolées : H5N1, H5N2 et H5N9.

En Tarn-et-garonne, aucun cas d’influenza aviaire n’a été confirmé.

Son classement en zone de restrictio­n a néanmoins un impact économique qui fait l’objet d’un suivi attentif de la part des services de l’etat.

Au cours des cinq réunions organisées par les services de l’etat avec les représenta­nts de la filière avicole locale, plusieurs difficulté­s tant tech- niques que financière­s ont été évoquées. Elles ne sont pas propres au départemen­t et ont fait l’objet de remontées vers le ministère de l’agricultur­e. Cela a notamment permis de faire évoluer les mesures de biosécurit­é et d’assainisse­ment.

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Face à face avec la presse
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Fabien MENU, directeur de la DDT

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