Le Club des Lacs a 40 ans
Une journée spéciale a été consacrée à cet anniversaire, avec repas, chants, et souvenirs à foison.
120 convives sont venus fêter les 40 ans du club des Lacs. Pour l’occasion des bénévoles ont décorés avec soin la salle et les tables. En préambule, le conseil d’administration a entonné la chanson écrite par Ghislaine Gouya, sur des airs du « travail c’est la santé » et « Riquita » .
Des albums de vieux articles de journaux ont circulé pendant le repas ainsi que les tout premiers statuts. Mais le « clou » de la journée fut sans aucun doute la vidéo retraçant l’activité du club depuis ses débuts. Chansons, histoires, danses ont rythmé la journée dans une ambiance très conviviale.
Un peu d’histoire
Le club de l’Amitié a été fondé le 6 décembre 1977 par Louise Cosnard des Closets. 187 adhérents y étaient inscrits. L’année suivante, Simone Dumaine lui succède. Son dévouement et son savoir-faire sont très appré- ciés. Elle organise des voyages en France et à l’étranger, des groupes de chants et un parrainage pour deux enfants du Rwanda par l’association Aide et Action, organise des conférences, des cours de gym douce…
En 1991, Raymond Niquet devient président, le club compte 307 adhérents. « Ce sont les belles années des clubs d’anciens : voyages, spectacles, banquets, concours de cartes, pétanque, boules bretonnes, chorale, etc., la grande et belle époque, ça me fait rêver. Je suis consciente qu’il n’est plus possible de mobiliser autant de personnes, les temps ont changé et les besoins de chacun aussi » , explique Marythé Lebarbier, coprésidente.
Sous la présidence de Léon Josse en 1998, 318 personnes adhèrent à l’association. Au bout de trois années, il cède sa place à Yvonne Bourget puis vient Andrée Ollivier en 2008.
Depuis 2011, Marythé Lebarbier en a pris les rênes. En 2014 le club de l’Amitié est rebaptisé Club des Lacs pour éviter toute confusion avec les clubs voisins. Mauricette Dirr la seconde depuis janvier dernier en coprésidence. Aujourd’hui, le club comptabilise 152 adhérents, « ce qui est déjà un bon nombre pour l’époque, d’autant plus que les sorties organisées fonctionnent bien, il nous arrive même de remplir un car ! » , ajoute Marythé.