Le plan de sauvegarde étudié
C’est Michel Courbet, élu de la minorité (Elan concellois solidaire) qui a lancé le sujet, questionnant Jean-Pierre Marchais sur l’actualisation du plan de sauvegarde des populations en cas d’inondation. Il s’est également étonné sur la question des pollutions chimiques : « Je ne vois rien à ce sujet-là. C’est la même chose concernant les espèces invasives : quelle est la responsabilité de la communauté de communes ? »
Réunion publique en juin
« Nous avons eu ce matin une réunion avec les communes de Divatte-surLoire et de Basse-Goulaine à ce sujet. » Après quelques années sans concertation, les trois communes concernées par la levée de la Divatte viennent donc de se remettre autour d’une table pour travailler sur un plan communal de sauvegarde commun. « Une réunion publique va être organisée en juin pour présenter les mesures sur lesquelles nous allons travailler. Et nous organiserons une opération réelle de secours à l’automne. »
Jean-Pierre Marchais a éga- lement exprimé la nécessité d’élargir la table de travail : « Quant à la CCSL, on souhaite qu’elle fasse partie de l’étude, tout comme le Département et le Syndicat mixte Loire et Goulaine. » Il n’a pas exclu d’inclure la question des pollutions chimique au PICS (plan intercommunal de sauvegarde).
Pour Thierry Gaudineau, la question des mesures de prévention des pollutions chimiques relève de la responsabilité de tous les acteurs concernés. « La police des eaux et l’Etat mentionnent des règles de stockage des produits dangereux, cela relève de la responsabilité de chacun. »
Christophe Audouin a également rappelé que « le plan communal de sauvegarde, élaboré au cours du mandat précédent, a été travaillé avec Divatte-sur-Loire, Basse-Goulaine et avec les entreprises concernées par les problèmes de stockage de produits polluants. Ce document devait être remis à jour tous les deux ans. » Jean-Pierre Marchais avait pris connaissance du document. « C’est un travail intéressant. On va le mettre à jour », a-t-il conclu.