L’effet domino de Luc Paradis
Lorsque Me Luc Paradis, associé chez Morency, Société d’avocats et président de J’ai ma place, invite des clients au restaurant Le Galopin, un effet domino s’enclenche !
Car comme lui, les personnes qui découvrent le Galopin en sa compagnie y reviennent à leur tour... Tout le monde y gagne! D’un côté, le restaurant accueille de nouveaux visages et de l’autre, M. Paradis sait que ses clients sont entre bonnes mains.
D’ailleurs, personne ne dit «non» à ses invitations à dîner au restaurant du chemin Saint-louis dit-il, car «tout le monde aime ça venir au Galopin», souligne l’avocat qui oeuvre notamment en financement, fusion, acquisition et franchisage d’entreprises.
Le «stationnement à la porte», la proximité de son bureau, le menu varié et le service attentionné font partie des qualités soulevées par M. Paradis, qui connaît les membres du personnel par leur prénom.
Assis au coin du bar central, il aime pouvoir discuter avec les clients réunis tout autour. À l’heure du lunch, il se laisse souvent tenter par la suggestion du chef ou l’arrivage de la mer variant quotidiennement. «Tu peux venir ici tous les jours et manger quelque chose de différent», dit celui qui s’y rend deux à trois fois par semaine.
Puis le vendredi, il se fait plaisir en dégustant le tartare de thon, qu’il préfère relevé. Les serveurs n’ont d’ailleurs plus besoin de lui demander s’il veut du poivre, ils en mettent beaucoup!
Mais le critère numéro un qui motive son choix au menu est de «manger des plats trop compliqués à faire pour moi à la maison», badine le président de J’ai ma place.
Implication sociale
M. Paradis et la Société d’avocats Morency ont à coeur le développement de la région de Québec, comme l’illustrent les 100 000 $ d’honoraires investis dans le projet J’ai ma place ces sept dernières années.
J’ai ma place, qui a vendu 5000 sièges dans l’amphithéâtre, remettra les profits de la vente, soit environ 15,5 M$, à la Ville de Québec dans les jours à venir. La Fondation J’ai ma place, quant à elle, poursuit la vente de la bague à l’effigie de la nouvelle enceinte. Jusqu’au 30 septembre, selon la volonté de la Ville, tous les profits seront remis à Mobilisation Vanier pour créer un programme sportif et s’attaquer au décrochage à l’école secondaire Vanier.