L’AVENIR DU JOURNAL PASSE PAR LA MOBILITÉ
MATHIEU TURBIDE a été journaliste et cadre au Journal de Montréal durant 15 ans avant d’être nommé vice-président des contenus numériques de Québecor.
Il y a des lecteurs qui tiennent mordicus à leur Journal en papier. Certains le lisent en tournant des pages sur leur tablette, le matin, ou sur leur ordinateur, leur bureau, à l’heure du midi. Mais de plus en plus le consultent n’importe où sur leur mobile.
Peu importe quand et comment, vous êtes tout près de 3 millions de personnes1 à nous lire chaque mois d’une façon ou d’une autre sur nos différentes plateformes numériques, en plus des 1,5 million de lecteurs qui le lisent chaque semaine sur le papier2.
Au-delà de son contenu, la force du Journal, c’est sa capacité à vous rejoindre, quels que soient le type de lecteurs que vous êtes ou les appareils que vous utilisez pour vous informer.
Un peu comme l’édition papier, Le Journal se rend à votre porte numérique tous les matins. Cette porte numérique, c’est votre téléphone, 88 % du temps1.
C’est l’appareil qui vous suit partout, avec lequel vous vous réveillez et le dernier que vous branchez sur la table de nuit avant de vous coucher. Il va sans dire : l’avenir du Journal passe nécessairement par la mobilité.
Dès le début de la journée, le travail de nos journalistes capte votre attention. Notre nouvelle application mobile, lancée l’année dernière, vous informe des reportages les plus importants, grâce à des notifications pertinentes.
Une fois entré dans l’application, vous creusez dans le fil d’actualités et vous y consultez deux fois plus de contenus que sur notre site web2. Visiblement, l’application du Journal vous plaît, puisque vous êtes plus de 260 000 à l’avoir téléchargée en un an à peine et la tendance ne s’essouffle pas3.
NOS UNES DANS VOS COURRIELS, MATIN, MIDI ET SOIR !
Le Journal est reconnu pour ses fameuses unes qui ne laissent personne indifférent et qui mettent en lumière les reportages parfois choquants, souvent surprenants, mais toujours captivants.
Ces unes, Le Journal vous en livre maintenant trois par jour. En plus de celle du matin, vous pouvez maintenant consulter la une du midi et la une du soir, qui vous présentent les nouvelles et les chroniques les plus importantes juste à temps pour le lunch au bureau et pour le retour à la maison en fin de journée.
Pour en profiter, il suffit de vous abonner à nos nouvelles infolettres, sur notre site web, ou alors plus simplement, en scannant le code QR ci-dessous grâce à votre mobile.
LE NUMÉRIQUE D’ABORD
Parce que vous ne pouvez pas attendre, tous les artisans du Journal de Montréal publient maintenant leurs articles, leurs enquêtes ou leurs chroniques sur les plateformes numériques d’abord. Ça peut sembler simple, mais c’est ce qui explique que nos nouvelles sont très souvent les premières à arriver jusqu’à vous, quel que soit le moment de la journée.
Nos journalistes conçoivent leurs reportages en vous imaginant en train de les lire sur votre téléphone. C’est ainsi qu’ils imaginent parfois des outils interactifs utiles et faciles à consulter, comme notre récent répertoire des plus hauts salariés de la fonction publique. Ou encore notre carte interactive (illustrée ci-contre) qui détaille les transactions immobilières survenues près de chez vous.
DES CONTENUS DE TOUS LES FORMATS
Quand on dit que Le Journal, c’est plus que du papier, c’est aussi en raison de la forme que nos reportages prennent pour vous intéresser.
Plusieurs reportages du Bureau d’enquête, par exemple, se sont transformés, avec l’aide de notre partenaire QUB radio, en séries balados à succès, comme Narcos PQ, Par pure vengeance ou plus récemment Le ripou des Hells. Sans oublier les pages « En 5 minutes » qui ont, elles aussi, évolué sur le numérique en reportages immersifs de même que sous la forme d’un balado, l’un des plus écoutés au Canada3.
L’INNOVATION : UNE PRIORITÉ
Au cours des 60 dernières années, bien avant l’arrivée du numérique, Le Journal a toujours cherché à innover ; des procédés d’impression jusqu’aux plateformes technologiques.
Les prochaines années nous réservent probablement des avancées technologiques inouïes. Déjà, la montée étourdissante, mais incontournable de l’intelligence artificielle nous oblige à réfléchir à de nouvelles façons de recueillir, d’analyser, de produire et de diffuser l’information. Cette évolution se fera toutefois de manière prudente, en s’assurant toujours que des humains contrôlent ces technologies. Car il faudra toujours de l’intelligence « naturelle », de vrais journalistes et de vraies nouvelles pour produire un journal vrai, quelle que soit sa forme.