Cinq types de fraudes par texto expliqués
Emploi
Ces fraudes explosent, alerte le Centre antifraude du Canada (CAFC). Il s’agit souvent de faux emplois payés en cryptomonnaie. Les fraudeurs utilisent des noms d’entreprises réelles pour « faire la “promotion” de produits, d’applications ou de vidéos à l’aide d’un logiciel qu’ils ont créé. Après avoir installé le logiciel et créé un compte, les victimes reçoivent des “commandes” ou des “tâches” à effectuer ».
Investissements
Ce sont de « stratagèmes de récupération d’argent à la suite d’offres de placement frauduleuses », qui sont en cause. Les fraudeurs jurent que les victimes pourront ravoir leur argent perdu. Ils facturent de faux services. « Dans certains cas, ils demandent aux victimes d’avoir accès à distance à leur ordinateur ou appareil. À la fin, celles-ci ne reçoivent pas de fonds et d’autres sommes pourraient leur être volées ».
Enquêteur bancaire
Certains fraudeurs ont le culot de se faire passer par un employé du Centre antifraude du Canada (CAFC). Ils disent faire une enquête pour retrouver de l’argent. « Les suspects utilisent l’en-tête et le logo du CAFC. N’oubliez pas que le CAFC et la police ne vous demanderont jamais de transférer des fonds ou de faire un paiement. En cas de doute, communiquez avec le service de police le plus près ou avec le CAFC ».
Marchandise
Billets de spectacle, chiots, matériel électronique, vêtements, logements, chalets, véhicules à moteur… les arnaqueurs passent par des sites de petites annonces, de revente, des fenêtres publicitaires sur des sites web, de faux sites web d’entreprises pour piéger leurs victimes. « Des fraudeurs utilisent aussi des codes QR pour voler des renseignements personnels et de l’argent. Ces codes, tout comme les liens hypertextes et les adresses URL, sont insérés dans des courriels et des textes ».