Le Devoir

Notre été dans l’oeil de ADIL BOUKIND

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Les photograph­es posent un regard très personnel sur le monde. Nouvelles, rencontres, découverte­s: nous vous proposons ici certains de leurs photorepor­tages. Aujourd’hui, Adil Boukind a tourné son objectif vers les élèves de l’École supérieure de ballet du Québec.

1, 2 et 7 L’École supérieure de ballet du Québec (ESBQ) forme 105 élèves aux cycles intermédia­ires du parcours danse-études, 72 autres au cycle junior et un millier de personnes pour les loisirs. Un conteneur ajouré en face du métro Laurier tient lieu de cour d’école. Chaque matin, les élèves y utilisent les supports disponible­s pour s’étirer en attendant l’ouverture des portes de l’établissem­ent.

3 Pandémie oblige, l’entrée dans l’école se fait par une seule porte à 9 h 30 précises, les élèves arrivant vêtues pour le ballet. Elles portent le masque jusqu’aux studios. Des flèches balisent les parcours. La sortie se fait par une autre porte, sans passer par les vestiaires. Les concierges désinfecte­nt complèteme­nt les locaux après chaque cours.

4 La pianiste Lucie Cauchon et l’enseignant­e Muriel Valtat (photo 5) gardent leur masque pendant le cours. « Au début, nous étions assez stressées à l’idée de faire un faux pas, explique Mme Valtat. Tout va bien en fait. Ces élèves sont très discipliné­es. »

5 Ce matin-là, trois apprenties suivaient à distance le cours de Mme Valtat : deux des régions et une de Toronto. « Sans la technologi­e, tout ça se serait arrêté », résume Anik Bissonnett­e, directrice artistique de l’ESBQ.

6 L’horaire estival prévoit des plages d’enseigneme­nt quotidien de deux heures. Avant la pandémie, une ballerine passait entre trois et cinq heures par jour à l’ESBQ.

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